Volkswagen
Ce concept de SUV 100 % électrique Volkswagen ID. Code inaugure tout un tas de nouveautés ! Mais des nouveautés destinées uniquement à la Chine…
Pouvons-nous vraiment nous passer des Etats-Unis? Bonne question… Toujours est-il qu’en matière d’automobiles, les Européens proposent eux aussi, à leur manière, l’un des genres américains les plus mythiques qui soient : les muscles cars !
Dans sa version la plus musclée, la Jaguar F-Type a vraiment tout du muscle car américain : un kit carrosserie impressionnant, un V8 débordant de chevaux (575 !) et un train arrière très joueur, en dépit de la transmission intégrale.
Cette interprétation moderne de la 300 SL embarque un V8 qui pourrait faire pâlir plus d’un motoriste yankee : un énorme cube de 6,2 litres ! En dépit de ses grosses gamelles, ce V8 grimpe à 7.000 tr/min. La version Black Series de 631 ch est carrément démoniaque !
C’est la plus ancienne de cette liste mais c’est peut-être aussi, celle qui respecte le plus les codes des muscle cars américains : une ligne façon « bouteille de coca-cola », deux portes, quatre places et un généreux V8 à l’avant ! Sauf que l’habitacle déborde de cuir et de bois et que le V8, il profite d’une sophistication inconnue des ‘Ricains : bloc en alliage, 4 arbres à cames en tête...
Une M3 comme muscle car ? Pourquoi pas, après tout ? Surtout la génération E92 qui s’arme d’un V8. D’accord avec vous, la cylindrée de « seulement » 4 litres et les 8.500 tr/min de la zone rouge font très européens. Et finalement, c’est tant mieux !
Si cette Maserati respecte quelques codes américains, elle apporte néanmoins toute la classe à l’italienne avec un dessin fabuleux, un habitacle tendu de cuir et un V8 à la musicalité à nulle autre pareille. C’est qu’il y a du Ferrari là-dessous !
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Voilà l’explication de la croissance généreuse du SUV Countryman chez Mini lors de son changement de génération. Mini lui offre ce petit frère électrique : le crossover Aceman.
En prime d’un look rafraichi, la BMW i4 gagne une nouvelle motorisation xDrive40 forte de 295 kW (401 ch) et 548 km d’autonomie à l’occasion de ce facelift.
Le baroudeur étoilé né en 1979 se réinvente à l’ère de la mobilité électrique. Le Classe G électrique ne s’appelle néanmoins pas EQG, mais G 580 EQ. Mais s’annonce quoiqu’il en soit plutôt zélé !