BMW
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Coup de théâtre en 1966 : un petit constructeur de moto, Honda, arrive sur la scène automobile internationale avec une sportive qui va défrayer la chronique, la S800 !
Fondée en 1947, la société Honda a une longue expérience en matière de motos. A partir des années 1960, l’entreprise désire se diversifier en se lançant dans l’automobile. Et pour ce faire, elle entend entrer par la grande porte en s’engagent en Formule 1 et en commercialisant un petit coupé qui devait surprendre son monde par ses caractéristiques ! C’est en 1966 qu’Honda présente en Europe les S800 coupés et cabriolets.
A vrai dire, la S800 n’est pas exactement un tout nouveau modèle : en effet, il s’agit d’une solide mise à jour des S500 et S600 déjà commercialisées au Japon. Néanmoins, sur le Vieux Continent, les caractéristiques du modèle estomaquent tout le monde : la voiture est minuscule (3,33 m de long et 1,4 m de large), son prix est réduit, mais son moteur ne ressemble à rien de connu !
Ce 4 cylindres en ligne de 791 cm³ seulement présente des solutions que même les GT européennes les plus raffinées ne connaissent pas : entièrement en alliage léger et coiffé d’une culasse à double arbres à cames en tête, il s’alimente via une impressionnante batterie de 4 carburateur, gigote sur un vilebrequin à rouleaux et développe la bagatelle de 78 chevaux SAE à 8.000 tr/min ! N’accusant qu’un peu plus de 700 kg sur la bascule, ce cœur palpitant et hurlant promettait 160 km/h en vitesse de pointe.
Face à un tel festival technologique, sa concurrente principale, la MG Midget, ne pouvait lui opposer qu’un bien rustique 4 cylindres de 1.275 cm³ tout en fonte et crachotant 65 chevaux. Dans le meilleur des cas, ce petit moteur pouvait prendre dans un grognement de supplice 6.000 tr/min… On est bien loin de la zone rouge de 8.500 tr/min du moulin nippon !
Agile, bien tarifiée et performante, la S800 n’avait pas que des qualités : la fureur sonore du 4 cylindres pouvait lasser à la longue, la direction manquait de précision, les freins étaient aux abonnés absents et la finition laissait très largement à désirer, avec du faux bois mais vrai plastique utilisé à tire-larigot. Pire : le réseau de distribution très réduit et les soins attentifs réclamés par sa mécanique ont dissuadé bon nombre d’acheteurs.
Produite entre 1966 et 1970 à 11.406 exemplaires, la S800 connût plus qu’un succès d’estime. Aujourd’hui, les tout premiers modèles sont à réserver aux puristes car encore munis d’une transmission par chaîne. Les derniers exemplaires (post-68) profitent de nombreuses améliorations tant esthétiques que mécaniques.
Longtemps, les S800 s’échangèrent entre passionnés à des prix compris entre 10.000 et 15.000 €. Si elle affiche une belle fiabilité, sa mécanique n’en requiert pas moins des soins experts. Et ce dernier aspect a fait reculer bon nombre de passionnés… Aujourd’hui, des spécialistes existent et la voiture a connu un regain d’intérêt qui a fait flamber sa cote : comptez un minimum de 25.000 € pour un coupé et rajoutez 15.000 € pour un cabriolet !
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