Du muscle !
Plus râblé, le « Low Drag GT » n’a certes pas la finesse d’une Type E « classique » et se rapproche plutôt des versions de compétition de l’époque. Son postérieur ferme, ses courbes bien démarquées et ses hanches élargies lui donnent une agressivité encore jamais vue sur une Type E. Un dessin presque bestial, mais rehaussé par quelques touches fines et élégantes, comme les nombreux détails chromés.
De la nostalgie !
Dans l’habitacle, Eagle surfe clairement sur la vague rétro en reprenant l’esprit des premières Type E : des petits interrupteurs de type aviation, de l’aluminium bouchonné, un grand volant bois et des compteurs qui fleurent bon les années 60… Pourtant, derrière cette façade nostalgique se cache une véritable étude moderne : l’habitabilité a progressé, tout comme le coffre et la capacité du réservoir.
Moderne, malgré tout !
Pourtant, sous cette belle enveloppe d’aluminium, on retrouve des dessous parfaitement modernes : des sièges tout cuir, un ciel de toit en Alcantara, la navigation GPS, une climatisation, une direction assistée électrique asservie à la vitesse…
Ça décoiffe !
Mais le morceau de choix se découvre sous le capot : le traditionnel 6 cylindres XK a profité de lourdes évolutions et cube désormais 4,7 litres. Les carburateurs sont jetés aux oubliettes et se voient remplacés par une injection séquentielle. En outre, on retrouve une boîte de vitesses à 5 rapports, un différentiel autobloquant en aluminium, un système de freinage AP, des amortisseurs ajustables…
Si la puissance n’a pas été communiquée, on l’imagine largement supérieure à 300 chevaux, ce qui devrait permettre d’exécuter le 0 à 100 km/h en moins de 5 secondes…