Développée conjointement avec Subaru, la GT86 reprend une architecture moteur chère à ce dernier constructeur : le 4 cylindres à plat. Atmosphérique, il s’abreuve grâce à une injection Toyota et développe quelque 200 chevaux à 7.000 tr/min. A l’occasion de ce facelift, ce moteur de 2 litres devrait gagner une dizaine de chevaux. Le tempérament de ce boxer, un peu creux à bas régime, nettement plus rageur au-delà de 4.500 tr/min devrait rester inchangé. En revanche, la consommation devrait être revue à la baisse. On parle en coulisse d’une diminution de 7 %, grâce à la réduction des frictions internes et à un nouveau collecteur d’admission.
Le châssis est sans conteste l’atout numéro un de cette GT86. Equilibrée et très réactive, cette propulsion authentique devrait encore être peaufinée sur le plan du comportement. On parle d’une rigidité en hausse et de nouveaux amortisseurs. D’un point de vue stylistique, les évolutions seront relativement sages. Mais ce mulet aux faces avant et arrière masquées ne laisse rien percevoir des modifications.