Nos 5 détails préférés de la Mercedes‑AMG SL Roadster

1. Ses moteurs

Avec la maison d’Affalterbach aux commandes, on n’en espérait pas moins. Mais heureusement, on n’est pas déçu ! La gamme de motorisations offerte à cette SL est réjouissante, pour user d’un euphémisme. Au cœur de l’offre, on retrouve le bloc 4 litres V8 biturbo décliné soit en 476 ch (55 4MATIC+) ou 585 ch (63 4MATIC+). Un moteur aux performances explosives. Mais surtout charismatique. Et à la sonorité grisante grâce à son échappement piloté laissant glisser quelques pétarades à l’occasion. Mais notons que la SL peut aussi se décliner en deux autres saveurs assez différentes. On peut la commander soit avec l’un des moteurs quatre cylindres les plus sophistiqués du marché. Son 2.0 litres turbo ne développe alors pas moins de 421 ch (43 AMG). Mais couplé à une « simple » propulsion, il permet de commander une SL de 1.810 kg ! De l’autre côté du catalogue, on peut lorgner vers la SL hybride rechargeable 63 SE Performance. Cette bestiale SL électrifiée développe jusqu’à… 816 ch ! Mais elle avance aussi un poids à vide de 2.195 kg.

2. Son chauffe-nuque

Peu importe la motorisation retenue, on aimera rapidement la présence du chauffe-nuque intégré dans les appuie-têtes des sièges avant. La Mercedes-AMG SL s’apprécie en effet surtout avec le toit replié. Une configuration qu’on ne se privera pas de retenir à chaque démarrage, quand le ciel est sec, même lorsque le mercure reste timide. Ces chauffes-nuques couplés aux sièges chauffants voire au filet anti-remous permettent de profiter d’escapades aérés sans craindre le froid piquant. En outre, le bouton qui permet de basculer conjointement les quatre vitres latérales sur une simple pression sera idéal pour améliorer le confort thermique en fonction de la vitesse. On traverse un village ? On descend toutes les vitres. On sort du village ? On remonte toutes vitres.

3. Ses places arrière

Contrairement aux précédentes générations de SL, qui ne lésinaient pourtant pas sur les centimètres de carrosserie, cette 8^ème du nom n’est plus une stricte deux places. A l’usage, on apprécie le retour des petits sièges arrière. Bien sûr, il ne faut pas s’attendre à des miracles. L’espace pour les jambes est compté et les dossiers sont fort droits. Mais pour se promener avec de jeunes enfants, ou pour un court dépannage, c’est pratique. Cela évite, en tous les cas, de devoir laisser sa belle SL au garage et prendre la familiale pour aller au resto ou déposer les enfants à l’école.

4. Sa capote triple couche

L’autre retour appréciable de cette Mercedes-AMG SL se situe au niveau du toit. Adieu panneaux rigides escamotables passés de mode. Cette SL renoue avec la capote en toile de ses illustres aïeules. Pour la ligne générale du modèle, c’est une excellente nouvelle tant la poupe redevient sensuelle. Ce retour de la toile est aussi bénéfique pour son poids de forme et son centre de gravité (la capote est 21 kg plus légère que les précédents panneaux métalliques). De plus, le pliage en Z de la toile n’encombre pas trop le volume de coffre, qui reste suffisant pour embarquer les bagages d’une escapade en amoureux. Enfin, la capote accepte de se plier/déplier en roulant jusqu’à 60 km/h.

Cerise sur le gâteau : sa conception triple couche offre une excellente insonorisation, tant acoustique que thermique.

5. Son écran pivotant

Enfin, notons que les amateurs de nouvelles technologies apprécieront l’interface MBUX de Mercedes. Le poste de conduite de la SL dit « hyperanalogique » dans le jargon de la maison allemande se montre complet, configurable et globalement ergonomique. Petit détail amusant : la tablette tactile centrale en format portrait (12,3 pouces) est montée sur un système motorisé. Pour éviter les reflets gênants en fonction de la position du soleil lorsque la capote est ouverte, cet écran tactile peut alors être réglé électriquement sur un inclinaison allant de 12 à 32 degrés.