BMW Z3 : GoldenEye (1995 – Pierce Brosnan)
Sacrilège ! Si tout se passe bien au début du film, avec un James Bond plus « 007 » que jamais aux commandes d’une Aston Martin DB5, il se voit par la suite confier une BMW Z3 équipée de quelques gadgets, dont un programme d’autodestruction et des missiles planqués derrière les phares. Equipée d’un modeste 4 cylindres de 1,9 litre, cette voiture fait une apparition discrète à l’écran, sur le sable cubain.
AMC Hornet : L’homme au pistolet d‘or (1974 – Roger Moore)
Bond, à la poursuite de Francisco Scaramango, s’empare d’une AMC Hornet pour poursuivre le malfaiteur dans les rues de Bangkok. La course-poursuite comprend un saut spectaculaire, l’une des plus belles cascades de notre ami James ! En dépit de mélodieux V8 sous le capot, la voiture n’est pas un foudre de guerre…
Alfa Romeo GTV6 : Octopussy (1983 – Roger Moore)
James Bond, comme à son habitude, est engagé dans une folle course contre la montre. Il dérobe dans ce but, une belle Alfa GTV6 à une dame allemande. Voilà qui nous donne l’occasion de réécouter la splendide bande son du V6 2.5l Alfa Romeo ! La course-poursuite avec des policiers bavarois ne dure pas très longtemps, mais elle n’en reste pas moins savoureuse.
Citroën 2CV : Rien que pour vos yeux (1981 – Roger Moore)
Cela peut en effet paraître tout à fait improbable, mais James Bond a bel et bien roulé en Deux Chevaux ! Après l’autodestruction de sa Lotus, James se voit contraint et forcé d’échapper aux bandits au volant du premier bolide venu, soit une Citroën 2CV. Si la monture est modeste (quoique préparée pour le film avec un 4 cylindres GS), la scène n’en est pas moins spectaculaire, avec une jolie fille, des échanges de coups de feu et des sauts impressionnants ! Enhardi par une telle célébrité, Citroën commercialisera une série de mille 2CV « 007 », avec des stickers rappelant les impacts de balle !
Lada Niva/AutoVaz 2121 : Le monde ne suffit pas (1999 – Pierce Brosnan) – Demain ne meurt jamais (1997 – Pierce Brosnan)
Forcément, dans ces films d’espionnage, il est souvent question de relent de guerre froide et de criminels soviétiques prêts à tout. Les Lada (AutoVaz) ont donc connu leurs heures de gloire, avec dans « Le monde ne suffit pas », une 2121 à bord de laquelle James pénètre le réseau de Renard et dans « Demain ne meurt jamais », une Niva appartenant au département nucléaire russe.