Alfa Romeo 33 Stradale (1967 – 1969)
Directement dérivée d’un modèle de compétition, la 33 Stradale n’a été produite qu’à 18 exemplaires et vendue une petite fortune : deux fois le prix d’une Jaguar ! Sculpturale, régulièrement jugée comme la plus belle voiture au monde, cette 33 faisait appel à un V8 de 2 litres hurlant ses 230 chevaux à… 8.800 tr/min !
Alfa Romeo 2300 (1974 - 1986)
En dépit d’une carrière particulièrement longue (12 ans !), cette Alfa ne fût vendue qu’à moins de 30.000 exemplaires. Réservée au marché brésilien, elle reprenait les dessous de l’Alfetta, mais rajoutait une bonne quarantaine de centimètres en longueur. La mécanique de 2,3 litres promettait de 140 à 150 chevaux, suivant les versions.
Alfa Romeo Dauphine (1959 - 1966)
Non, vous ne rêvez pas. Si Renault est bien le père de la Dauphine, Alfa Romeo profita aussi de la petite citadine qu’il produisit sous licence Renault dans son usine de Portello, au Sud de l’Italie, près de Naples. Techniquement identique à la petite citadine française, cette voiture avait pour but d’accroître les parts de marché d’Alfa Romeo, notamment sur le segment des berlines populaires.
Alfa Romeo Arna (1983 – 1987)
Sur le papier, une alliance entre les Italiens et les Japonais ne peut qu’être réussie. Le romantisme latin et la rigueur nippone. Sauf que le modèle en question reçoit la bien fade carrosserie de la Pulsar, mais équipée de la dynamique motorisation de l’Alfasud, soit un 4 cylindres boxer délivrant entre 62 et 93 chevaux. Après à peine plus de 50.000 exemplaires, le groupe Fiat, détenteur de la marque, stoppe la production.
Alfa Romeo Alfa 6 (1979 – 1986)
