La Lexus IS 250 se découvre à l’occasion du salon de Paris. Tout comme sa rivale, la BMW Série 3, elle se pare d’un toit en dur (réalisé en aluminium), qui s’escamote en trois parties en 20 secondes.
Raffiné
Chez Lexus, transformer une berline en cabriolet ne se résume pas à une simple opération de tronçonnage. La métamorphose s’est réalisée de la manière la plus minutieuse qui soit, de sorte que les niveaux d’insonorisation et de rigidité restent très élevés. Lexus annonce d’ailleurs qu’en configuration coupé (toit fermé), le niveau de bruit et de vibrations est équivalent à la berline. Elle reprend d’ailleurs sa motorisation V6 essence, de 2.5 l et 208 chevaux. Un moteur accouplé à une boîte automatique à 6 rapports. A l’usage, sous le capot de la berlne, ce groupe est pur régal de raffinement, de silence et d’onctuosité. Gageons qu’il en sera de même sous le capot de ce cabriolet…
Ligne fluide
Pour optimaliser l’aérodynamisme de son cabriolet, Lexus a particulièrement travaillé sur la gestion de l’écoulement de l’air. Cela permet non seulement de diminuer les chiffres de consommation et d’émission, mais également de minimiser les turbulences pour les occupants. La ligne est élégante et charmeuse, surtout de l’avant. Vue de l’arrière, on regrette le coffre un peu haut, caractéristique de tous les coupés-cabriolets.
Habitacle spacieux ?
Gros défaut de la formule des coupés-cabriolets : un habitacle généralement étriqué. Pourtant, le constructeur nippon annonce une habitabilité suffisamment généreuse pour quatre personnes. Pour y arriver, Lexus a travaillé sur l’emplacement des sièges, leur accès ainsi que sur l’espace aux coudes. Le système stéréo Mark Levinson et la climatisation ont naturellement été adaptés.