Lors de la présentation de son C-HR+ et du restylage de son bZ4X, Toyota a également dévoilé les autonomies provisoires de son Urban Cruiser. Un SUV que nous avons eu l'occasion de découvrir en chair et en os !

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Avec ses 4,285 m de long, 1,8 m de large et 1,64 m de haut, l'Urban Cruiser est le benjamin de la famille électrique de Toyota. Il mesure en effet 23,5 cm de moins que le nouveau C-HR+ et même 40,5 cm de moins que le bZ4X. À titre de comparaison, le jumeau du Suzuki e-Vitara affiche un format équivalent, mais également des formes similaires à celui du Kia EV3. En revanche, il est non seulement nettement moins endurant, mais également moins spacieux que ce dernier…

Trois SUV Toyota électriques exposés devant un logo géant, design moderne et futuriste.
Toyota Urban Cruiser blanc exposé dans un showroom au design moderne et futuriste.
Vue arrière du Toyota Urban Cruiser AWD, fond moderne avec motifs lumineux rouges.
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Un style robuste aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur

À l'intérieur du Toyota Urban Cruiser, on retrouve un combiné d'instruments digital de 10,25 pouces ainsi qu'un écran central de 10,1 pouces. Tous deux sont de bonne qualité et suffisamment réactifs. Quant aux matériaux que l'on retrouve à l'intérieur du Toyota Urban Cruiser, il s'agit majoritairement de plastiques durs, mais qui semblent de bonne qualité. L'ensemble est en revanche bien assemblé et donne un sentiment de robustesse.

Intérieur moderne du Toyota Land Cruiser avec tableau de bord numérique et écran tactile central.

Le Toyota Urban Cruiser, un SUV électrique partout compact…

Le SUV nippon électrique et compact repose sur un empattement de 2,7 m, n'offrant malheureusement pas énormément d'espace à ses passagers arrière. Quatre adultes de taille moyenne peuvent monter à bord, mais tout juste. Qui plus est, les passagers arrière devront s'accommoder d'un plancher assez haut. En revanche, ces derniers profitent d'une banquette coulissante et de dossiers inclinables. Le coffre de 306 l du Toyota Urban Cruiser ne fait pas non plus partie des plus généreux du marché. Et malheureusement, le SUV nippon ne dispose pas de frunk pour augmenter son volume de chargement total...

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Toyota SUV blanc exposé, profil latéral, sur fond de logo Toyota moderne.
Intérieur de la Toyota bZ4X avec sièges arrière en cuir et conception spacieuse.
Coffre spacieux d'un Toyota Urban Cruiser blanc exposé en salon automobile.

Jusqu’à 135 kW (184 ch) et 300 Nm ou 400 km d’autonomie pour le Toyota Urban Cruiser

Toyota proposera son Urban Cruiser en trois motorisations. La première associe un moteur avant de 106 kW (144 ch) et 189 Nm à une batterie de 49 kWh pour lui permettre de parcourir environ 300 km par plein d'ions. La seconde envoie également ses 128 kW (174 ch) et 189 Nm uniquement sur les roues avant du SUV électrique nippon, mais profite d'une batterie plus grande de 61 kWh. Cette dernière devrait permettre au Toyota Urban Cruiser de revendiquer 400 km d'autonomie. Enfin, le SUV nippon peut associer cette même batterie à quatre roues motrices grâce à la présence d'un moteur arrière supplémentaire de 48 kW. Cette dernière variante développe une puissance totale de 135 kW (184 ch) et 300 Nm de couple, et devrait disposer d'un rayon d'action maximal de 350 km.

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Toyota Urban Cruiser électrique exposée dans un showroom moderne avec fond rouge distinctif.
Toyota Urban Cruiser blanc exposé dans un salon automobile moderne.
Toyota Urban Cruiser blanc, SUV compact moderne exposé dans un showroom élégant.

Une garantie digne de Toyota et une commercialisation à l'automne 2025

Tout comme ses grands frères, l'Urban Cruiser pourra bénéficier du Battery Care Program de Toyota. À condition de passer au moins une fois par an au garage, la marque japonaise garantit que son SUV conservera au minimum 70 % de son autonomie même après 10 ans ou un million de kilomètres. Malheureusement, si l'on en sait désormais plus à propos du Toyota Urban Cruiser, on ne connaît pas encore les prix de ses différentes variantes. Il faut dire que sa commercialisation ne débutera pas tout de suite. Son lancement sur le marché européen n'est en effet prévu que pour l'automne 2025.