Depuis la suppression des primes à la fin de l’année 2011, la part de marché des véhicules diesel s’érode lentement mais sûrement. Cette année et pour la première fois depuis 1997, l’essence repasse devant : de 23,5 % de parts de marché, ce moteur est passé à 48 % ! L’érosion du diesel profite également aux motorisations hybrides qui, pour la première fois, dépassent les 4 % de parts de marché.

Ce phénomène n’est pas unique à la Belgique, car la France connaît un constat similaire. Il convient d’ajouter que la politique environnementale des villes n’est pas en faveur du diesel et que cela, forcément, se ressent dans les ventes.