VW a présenté à Francfort l’EOS, son coupé-cabriolet quatre places. Il ne s’agit pas d’une Golf CC, mais d’un modèle à part entière reposant sur la base utilisée par la Passat. Comme on vous l’avait déjà annoncé en août avec un petit explicatif étymologique du nom.
CSC
L’Eos bénéficie d’un toit en cinq parties, appelé CSC qui se replie électriquement. Avec ses 4,41 m de long et ses 1,79 m de large, l’Eos n’est le CC d’aucun modèle de la gamme, mais une version développée de A à Z en tant que coupé cabriolet. La structure CSC en cinq sections permet d’empêcher un cadre de pare-brise s’étendant trop vers l’habitacle caractéristique de certaines décapotables. Et ainsi éviter aux passagers de s’y cogner en entrant ou en sortant de la voiture. De plus, le toit en verre permet de profiter de la sensation de cabriolet, même avec le toit fermé ou lorsque le soleil se fait rare. Encore mieux, le toit peut se transformer en toit ouvrant. Pour découvrir la joie de la conduite en décapotable, il faut environ 25 secondes pour ouvrir complètement le toit et le ranger à l’arrière. Une fois découverte, la VW Eos propose un système antiretournement qui peut se déployer en 0,25 secondes. Toit ouvert, on dispose de 205 litres pour les bagages, soit le volume d’un coffre de petite voiture. Celui-ci passe à 380 litres toit déployé.
5 moteurs
Situé à mi-chemin entre la Golf et la Passat, le coupé cabriolet proposera, lors de son arrivée au printemps 2006 sur le marché international, 5 choix de motorisations (NDLR : en attente de confirmation pour le marché belge, notamment en ce qui concerne les puissances). Un choix vaste en essence puisque le client pourra se laisser séduire par des blocs de 115 chevaux (85 kW), 150 ch (110 kW), 200 ch (147 kW) ou même carrément 250 ch (184 kW). Les plus économes se laisseront peut-être tenter par un TDI de 140 ch (103 kW) – un moteur qui donnera sûrement 136 ch en Belgique pour raisons fiscales.
© Olivier Duquesne Source : Volkswagen