1. Aussi disponible en essence et diesel
Ça, on est bien d’accord, c’est plus qu’un « détail ». Car en décidant d’abandonner les versions thermiques de ses ludospaces début 2022, le groupe Stellantis mettait un frein brutal à la diffusion de ses modèles prisés par les familles. Les seules versions électriques encore proposées devaient à la fois bien plus chères mais aussi bien moins polyvalentes à l’usage avec une autonomie réelle handicapante pour les longues transhumances.
Mais cette marche forcée vers la mobilité électrique est terminée. Le Berlingo 2024 (et ses cousins) est à nouveau disponible avec des motorisations thermiques. Soit en version diesel 1.5 BlueHDI (100 ou 130 ch) pour les familles qui dévorent les kilomètres ; soit en version turbo essence (1.2 PureTech 110 ch) si on cherche un tarif plus contenu. Ce qui baisse le prix du ludospace de quasiment 13.000 € par rapport à sa version électrique ! Concrètement, le Berlingo 2024 thermique est disponible à partir de 23.785 € en essence ou 25.085 € en diesel contre 36.485 € pour la première version électrique du ë-Berlingo 2024.
2. Longueur au choix
Bonne nouvelle : le Berlingo 2024 reste proposé en deux longueurs. Lors de la commande, on peut en effet opter pour sa configuration dite « M » ou « XL » de respectivement 4,41 m ou 4,76 m. Dans les deux cas, la cellule habitable pour les 5 passagers avant est suffisante. Mais c’est la poupe du modèle qui gagne en polyvalence sur la version XL. Soit en acceptant d’embarquer 2 sièges supplémentaires pour proposer une configuration à 7 places (+ 800 €). Soit en libérant un volume de coffre encore plus généreux (+275 l). On notera également que, côté modularité, la version XL permet d’embarquer des objets sensiblement plus longs en cas de besoin. Avec la banquette arrière abaissée et le siège passager avant replié, on engouffre des objets mesurant jusqu’à 3,05 m contre 2,70 m à bord du M.
Il faudra en revanche s’acquitter d’un prix minimal supplémentaire lors de la commande (la version XL thermique n’existe pas en « base » et démarre à partir de 28.085 €). Mais aussi composer au quotidien avec un véhicule plus encombrant (+ 35 cm) et donc moins facile à garer dans les environnements urbains.
3. Sièges indépendants et confortables
Le Berlingo reste l’un des rares modèles compacts à proposer 3 sièges identiques sur sa banquette arrière. Ils ont ainsi le mérite de permettre à trois enfants/jeunes adultes de s’installer confortablement. En plus, à l’occasion du facelift de son Berlingo, Citroën a offert sa technologie « Advanced Comfort » à son ludospace. Les sièges offrent alors un meilleur moelleux ainsi qu’un maintien latéral plus efficace que par le passé. Et le style de sièges est aussi assez sympa.
4. Rangements un peu partout !
Le Berlingo confirme son statut de véhicule familial « pratique à vivre » en offrant des rangements absolument partout. Au total, le Berlingo 2024 offre 27 rangements répartis dans l’habitacle pour un volume global qui peut atteindre 186 litres.
On pointera particulièrement l’orignal « Modutop » proposé en supplément (+700 €). Soit le module multifonction arrimé au ciel de toit qui intègre une arche translucide, un coffre de pavillon arrière, un éclairage d’ambiance et un toit vitré panoramique occultable avec store électrique.
5. Lunette arrière à ouverture indépendante
Quiconque a déjà tenté d’actionner un grand hayon de ludospace dans un parking étroit ou avec un autre véhicule garé à proximité le sait : la manœuvre n’est pas toujours aisée ! Bonne nouvelle donc : le Berlingo 2024 conserve une lunette arrière à ouverture séparée. Cela permet de glisser un petit sac dans le coffre facilement, sans devoir actionner l’encombrant hayon au complet. En plus, la tablette cache-bagages est de type « renforcée ». Ce qui lui permet de supporter des objets allant jusqu’à 25 kg sans fléchir. Cette lunette arrière à ouverture séparée permet également d’accéder facilement au rangement postérieur du Modutop si on l’a commandé. Cette fonction est offerte en série à partir de la seconde exécution du Berlingo, baptisée Max.