« Accord du gouvernement bruxellois pour sortir du diesel. Processus inclusif pour aboutir à une interdiction du diesel d’ici 2030 au plus tard » peut-on lire sur le compte Twitter de Céline Fremault, la ministre bruxelloise de l’environnement.
Essence et LPG dans la foulée
Mais plus globalement, c’est l’avenir des véhicules thermiques « classiques » qui se pose à Bruxelles. Après les véhicules diesel, le gouvernement bruxellois a également donné son accord de principe pour l’interdiction des modèles à essence ainsi que ceux fonctionnant au LPG dans une « étape suivante », sans fixer de date.
Des alternatives ?
Pour y parvenir, l’idée est de favoriser le développement de solutions alternatives comme les véhicules hybrides, 100% électriques ou fonctionnant au gaz naturel. L’objectif avoué est clair : améliorer la qualité de l’air de la capitale européenne.
Comité de suivi
De manière plus pratique, la ministre bruxelloise de l’environnement va devoir mettre sur pied un comité de suivi permettant d’assurer la cohérence de cette décision entre les différents cabinets impliqués. On s’en doute, cette volonté politique affichée risque d’être complexe à mettre en pratique « sans heurts ». Affaire à suivre, donc !