Il y a trois semaines - vous vous en souvenez certainement - nous avons organisé, en collaboration avec Suzuki, un concours avec à la clé un mini-trip en Sardaigne afin d’assister à une manche du championnat du monde des Rallyes. Non content de suivre de près la catégorie-reine WRC, notre gagnant a également suivi de l’intérieur l’épreuve JWRC, dans laquelle le Team Suzuki fait des étincelles.
Impressions...
Il y a des concours dont le prix vous laisse le plaisir de le recevoir, un plaisir matérialiste dont on oublie peu à peu la vraie valeur. Celui de Suzuki est de ceux dont le souvenir me sera impérissable tant ce que j’y ai vu et vécu a été intense ! Plus que de sensations fortes, quoi qu’en hélico ce fut… extrême, ce périple m’en restera longtemps en mémoire. Les images, les mots, les instants, les bruits, tout est gravé à jamais dans ma tête !
Bye, bye Bruxelles via Cologne et son temps maussade et bonjour Olbia. Avouez que 28 à 30° grâce à un soleil radieux, c’est une dose de luminothérapie que l’on veut tous avoir au quotidien. Ça c’est le fond du décor car vivre au rythme du JWRC, c’est tout un art. Un art que One Event m’a bien aidé à gérer car les pilotes de rallye le vivent eux à 100% et même plus. Je dois bien avoué que j’ai été content de “souffler“ le temps des repas !
Sur le terrain, j’ai pu rencontrer Guy Wilks, pilote leader du Suzuki Motorsport. Simple, accueillant, il m’a montré une tout autre facette du sport automobile car à l’inverse de la F1 où il faut un pass pour tout, le WRC est plus “humain“. On peut approcher les pilotes, j’ai par ailleurs eu l’occasion de rencontrer Duval et Loeb, les teams, les voir travailler et faire… des miracles aux assistances. Mais pour voir tout cela, il faut savoir suivre et le rallye moderne s’est doté des nouvelles technologies et de moyens logistiques imposants. Pour preuve, je n’ai jamais été autant en hélicoptère en si peu de temps : 6 fois sur mes 48 heures de présence au sein du team Suzuki Motorsport !
De quoi aussi admirer de haut les magnifiques décors de ce rallye et d’en apprécier encore plus l’exploit de ces pilotes qui virevoltent de gauche à droite en laissant dans leur sillage les volutes de poussières, témoins éphémères de trajectoires tirées à la limite du raisonnable. Les WRC m’ont certes impressionnés, mais je ne pensais pas non plus qu’une Suzuki du Junior WRC pouvait aller si vite. Guy Wilks en était d’ailleurs le leader jusqu’au dernier jour avant de connaître malheureusement une fuite d’huile et un souci moteur.
Si le tabloïde est primordial pour tout constructeur qui s’investit dans un tel championnat, moi, j’en garderais un souvenir aussi chaud que la température locale, aussi chatoyant que le jaune des Suzuki officielles, aussi simple que les gens que j’ai rencontré !
C’est à vivre et je mesure aujourd’hui la chance que j’ai eu de le vivre de l’intérieur… Merci Suzuki, merci Bart Hendrix (Suzuki Belgium), merci One Event, merci vroom.be ! Je ne vous oublierai jamais !
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