La très prestigieuse firme germanique Maybach vient de donner le feu vert pour la mise en production de la Maybach Landaulet. Versant plutôt dans la luxueuse croisière que dans le sportif rafting, cette version très exclusive ressuscite la formule « Landaulet ». Une architecture automobile qui prévoit un toit découvrable pour les passagers arrière. Car il va naturellement de soi qu’une telle automobile ne se conçoit pas sans chauffeur. Les passagers arrière, déjà choyés par un équipement pléthorique, peuvent désormais profiter d’un contact plus intime avec la nature. Il n’est bien sûr pas question des charmes rustiques d’un roadster britannique de la grande époque, mais seulement d’une possibilité de voyager à ciel ouvert lorsque le climat s’y prête.

Ce qui a décidé Maybach à mettre ce plantureux vaisseau en commercialisation, est la réponse très enthousiaste du public, lorsque celui-ci découvrit pour la première fois cette version Landaulet. Toutefois, soyez rassurés, il ne s’agit pas d’une banale mise en production façon boîte de cassoulet. Les voitures, fignolées dans les moindres détails, seront produites à un nombre limité d’exemplaires. D’exclusivité, il en est également question lorsque l’on aborde la question délicate des tarifs : 900.000 €… Glups…

A l’intérieur, tout n’est que luxe et confort. Le chauffeur se trouve dans un environnement où le cuir noir est abondant et se marie à une finition en fibre de carbone et où une laque « Piano Black » vient parfaire l’ambiance. Et si jamais, le chauffeur venait à s’ennuyer, il lui reste un V12 de 612 chevaux à commander du pied droit. A l’arrière, outre la vue imprenable sur le ciel (bleu de préférence), on découvre une pléthore de systèmes destinés à protéger les occupants des turbulences.

Le premier client sera livré à l’automne 2008.