La voiture qui roule toute seule, c’est pour demain ! En 5,22 mètres de long, ce prototype se barde de capteurs et de caméras pour analyser son environnement et s’y faufiler. L’échange d’information entre le véhicule, les passagers et le monde extérieur est d’ailleurs le point fort de ce concept ! Sa face avant atypique change d’ailleurs de couleur selon les conditions : blanche en conduite manuelle, bleue en conduite autonome et rouge en cas de danger sur la route.
Le bien-être des passagers
Déchargé de la conduite, le conducteur peut donc porter toute son attention sur les passagers. Ce qui est, par ailleurs, facilité par la modularité intérieure, avec des sièges pivotant pour se faire face. De même, l’accès à bord est optimisé par la rotation de 30 degrés des sièges et par les portes à ouverture antagoniste.
Dieter Zetsche, PDG de Daimler AG, explique son concept en précisant que « le plus grand luxe du 21ème siècle est l’espace privé et le temps ». Avec des mégapoles de plus de 10 millions d’habitants en nombre croissant, la mobilité devra forcément s’adapter, notamment en s’orientant davantage vers les véhicules autonomes. Ceux-ci permettront aux passagers de se détendre (la surface vitrée est à ce titre, particulièrement étendue), de travailler ou de communiquer avec leurs proches et donc, de leur faire gagner en temps. CQFD ! Et honnêtement, de vous à moi, conduire dans des mégapoles n’a absolument rien d’excitant !