Ce sont principalement ces grandes nouveautés qui font l’attrait d’un salon. De par leur nombre et leur importance, on juge l’intérêt d’un salon. Paris faisant partie des salons incontournables, elles étaient, cette année encore, assez nombreuses !

Ford Ka : la nouvelle petite citadine de Ford se présente sous des traits craquants. Partageant sa plate-forme avec la Fiat 500, elle en reprend également les moteurs : 1.2 essence de 69 chevaux et 1.3 diesel de 75 chevaux.

VW Golf VI : Il s’agit naturellement de LA nouveauté du salon. Déjà testée dans nos colonnes, la nouvelle Golf reste fidèle à elle-même et immédiatement reconnaissable. Conservatrice, elle ravira les amateurs de la lignée, mais décevra peut-être ceux qui s’attendaient à une plus grande originalité.

Renault Mégane : L’autre grande nouveauté du salon… Présentée chez elle, la nouvelle Mégane évolue sur le plan du style, avec des traits plus sportifs et plus tendus. Mais là n’est pas la seule évolution : qualité, agrément de conduite, sécurité et respect de l’environnement sont des facteurs qui ont progressé. La palette de moteurs diesel est particulièrement étendue !

Seat Exeo : Alors que l’on attendait juste un concept-car, Seat nous a présenté le modèle définitif ! Rappelant à plus d’un titre la précédente Audi A4, cette Seat affiche une plastique classique, mais dynamique. Le standing de la marque espagnole a fait un sérieux bon en avant, mais sa sportivité spécifique est conservée.

Opel Insignia : Nettement plus glamour que la précédente Signum, l’Insignia joue la carte du style, en perdant un peu en fonctionnalité. Ses traits élancés sont bien dans l’air du moment et sous sa plastique avantageuse se cache une série de moteurs à la pointe. La technologie embarquée vaut également le détour avec, notamment, un œil capable de repérer les panneaux routiers.

Toyota Avensis : La très classique Avensis s’est, elle aussi, habillée d’une robe - légèrement - plus sportive. Le style ne vient en rien chambouler le classicisme et c’est tant mieux, ce rôle étant assuré par d’autres marques. Toutefois, on remarque une sérieuse progression des dimensions : la longueur avoisine 4,7 m ! Les motorisations diesel proposent de 126 à 177 chevaux en passant par une nouvelle unité de 2.2 l et 150 chevaux. En essence, le choix est limité à un 1.8 de 147 chevaux, ce qui représente une belle puissance spécifique !

BMW Série 7 : Si la précédente mouture s’est vue très critiquée sur son style discutable, la nouvelle fait appel à plus de classicisme. Une silhouette toutefois massive mais suffisamment dynamique que pour rappeler les prétentions sportives la marque à l’hélice. Et de fait, les motorisations proposées relèvent du dernier cri et font honneur à la réputation de motoriste du constructeur. Une version hybride développée avec Mercedes est dans les cartons.