Contrairement aux nouvelles Toyota Yaris et Honda Jazz qui s’offrent un taux d’hybridation élevé, c’est sur la micro-hybridation 48 volts que mise la Hyundai i20 pour sa nouvelle vie. Son bloc 1.0 l T-GDi (turbo essence) disposera d’une hybridation légère 48 volts en option sur sa version 100 ch et en série sur la variante de 120 ch. Notons que cette hybridation légère sera proposée tant avec la boîte à double embrayage 7DCT qu’avec une boîte manuelle à 6 rapports. Elle est alors baptisée iMT pour Intelligent Manual Transmission et permet de découpler le moteur de la transmission lorsque le conducteur relâche l’accélérateur afin de poursuivre sa route en roue libre.
Pour être complet, notons qu’un bloc 1.2 l essence atmosphérique MPI de 82 ch sera également proposé en guise d’accès mais que la nouvelle i20 fait l’impasse sur les moteurs diesel.
Plus basse, plus large
Côté style, cette i20 se démarque par son langage stylistique nommé « Sensuous Sportiness ». C’est le premier modèle de Hyundai à arborer ce style en Europe. Par rapport à la génération sortante, cette i20 est plus basse (-24 mm) ; plus large (+30 mm) et très légèrement plus longue (+5 mm). Son empattement progresse, quant à lui, de 10 mm. Côté pratique, le coffre gagne 25l pour atteindre 351l.
Equipement à la page
Hyundai ne publie pas encore d’image de l’intérieur de cette nouvelle i20 qui sera exposée officiellement à l’occasion du Salon de Genève, début mars. Mais on apprend déjà qu’elle dispose d’une nouvelle console digitale de 10,25" et d’un nouvel écran tactile central de 10,25" qui « ont été graphiquement combinés ». Hyundai promet également une connectivité à la pointe (avec sa technologie BlueLink) ainsi qu’une gamme complète d’équipements de sécurité.