Jean-Francois Christiaens

12 NOV 2020

Hyundai Kona Electric : « nouveau‑nez »

Après en avoir retouché les versions thermiques, Hyundai modernise maintenant les variantes électriques de son SUV Kona. Avec, en guise de modification principale, l’apparition d’un nouveau nez.

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Arrivée sur le marché en 2018, la Kona Electric a déjà séduit plus de 120.000 clients, dont 53.000 en Europe. Il faut dire qu’avec sa batterie de 64 kWh, la version de pointe de la Kona Electric présentait un fameux argument pour libérer ses potentiels clients de la fameuse « crainte de l’autonomie ».

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Lisse

Comme c’est de coutume chez Hyundai, la remise sur le métier du Kona n’a pas tardé. Deux ans après sa présentation, la version électrique hérite ainsi déjà d’un nouveau visage. Un visage lisse qui renforce encore le look « atypique » du SUV coréen.

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2 x 10,25 pouces

À bord, l’évolution la plus sensible concerne l’apparition d’un nouveau système d’infodivertissement combinant deux écrans de 10,25 pouces. Un remplaçant les traditionnels compteurs et un second situé sur le sommet de la planche de bord.

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39,2 ou 64 kWh

Sur le plan technique, l’offre n’évolue guère. Les clients ont toujours le choix entre deux versions : une variante équipée d’une batterie de 39,2 kWh couplée à un moteur électrique de 100 kW (136 ch). Ou la version de pointe jouissant d’une batterie de 64 kWh et d’un moteur électrique de 150 kW (204 ch).

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Jusqu’à 484 km

Grâce à quelques évolutions, notamment au niveau des pneumatiques, ces nouveaux millésimes affichent des autonomies WLTP respectives de 305 km et 484 km.

Chargeur triphasé

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En cas de besoin, la recharge rapide en courant continu reste possible jusqu’à la puissance de 100 kW Pour les recharges en courant alternatif, Hyundai propose un chargeur triphasé optionnel de 10,7 kW pour diminuer le temps d’immobilisation par rapport au chargeur monophasé de 7,2 kW de série.
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