Chevrolet V8 « 305 »
Une gros V8 Chevrolet de 5 litres, ça doit avancer, non ? Non, pas du tout. Même sous le capot d’une Corvette, ce moteur ne parvint jamais à délivrer une puissance honorable. Dans ses premières moutures, il crachotait péniblement 140 chevaux, ne parvenant même pas à dépasser les 4.000 tr/min sans s’effondrer ! Un problème d’alimentation, paraît-il…
TVR Cerbera 4.2
TVR, une marque flamboyante aux produits aussi performants que caractériels ! Hélas, le petit artisan britannique ne parvint jamais à fiabiliser correctement ses produits. Les premières Cerbera étaient équipées d’un V8 maison au vilebrequin plat. Une originalité technique, mais hélas, fragile sur les premiers exemplaires.
Cadillac V8-6-4
Au début des années 80, Cadillac a une idée lumineuse qui fera son chemin bien des années plus tard : désactiver quelques cylindres lorsque le conducteur a le pied léger sur l’accélérateur. D’où le nom du moteur, par ailleurs… Hélas, la technique de l’époque ne permettait pas un fonctionnement souple et le moteur fût grandement fragilisé par des soucis de lubrification.
Oldsmobile V8 diesel
Aussi étrange que cela puisse paraître, les Américains ont très vite eu l’idée de convertir leurs gros V8 au diesel ! Toutefois, tout ne se passa pas comme prévu : très peu puissant, ces moteurs cassaient rapidement, la faute à une culasse qui ne résistait pas au taux de compression ! Il n’en fallu pas plus pour dégoûter les Américains du carburant lourd…
Triumph Stag
Quand Triumph développe son haut-de-gamme, il s’oriente tout naturellement vers un V8. Une question de prestige ! Mais plutôt que de reprendre l’excellent V8 Rover disponible dans le groupe, les ingénieurs vont développeur leur propre moteur… Une catastrophe, surtout au niveau du refroidissement qui flingua la réputation de l’auto…