Si la future remplaçante de la 147 a longtemps été appelée Milano, elle s’appellera finalement Giulietta. Belle, elle l’est assurément. Mais pour la détailler plus finement, il faudra attendre le salon de Genève en mars 2010. D’ici là, Alfa nous fait patienter avec les premiers détails.

Giulietta, un nom chargé d’histoire

Un nom plein d’histoire et de romantisme : la Giulietta première du nom fit son apparition dans les années cinquante. Incroyablement moderne pour l’époque, avec son fabuleux moteur en alliage et son double arbre à cames en tête, elle remporta vite le cœur des pères de famille sportifs. Un nom très vite entré dans la légende et synonyme de victoires en compétitions, de longues glissades et d’un moteur rageur à la délicieuse sonorité caverneuse.

ADN sportive

La firme au Cuore Sportivo a le sport dans ses gênes. Et cela transpire sur la ligne, musclée et enthousiaste : inspirée de la MiTo, la Giulietta rappelle donc la supercar 8C. Une belle référence… Pour faire moderne, des LED se sont invités dans les phares avant. Basée sur une toute nouvelle plate-forme qui conjuguera, aux dires du constructeur, « tenue de route exaltante et confort de haut niveau », elle mesure 4,35 m de long, 1,46 m de haut et 1,80 m de large. L’empattement affiche, quant à lui, 2,63 m. Le coffre offre un volume de 350 litres.

Moteurs suralimentés !

Pour commencer, Alfa propose 4 moteurs, tous turbocompressés : en essence, le 1.4 l est décliné en 120 et 170 chevaux. En diesel, on retrouve le 1.6 JTDM de 105 chevaux et le 2.0 JTDM de 170 chevaux. Pour ceux qui ont vraiment un cœur sportif, une version Quadrifoglio Verde déboulera avec un 1750 TBi de 235 chevaux ! Tout comme la MiTo, la Giulietta sera équipée de la manette DNA, qui modifie selon trois positions la gestion du moteur, de la boîte de vitesses, de la direction, du différentiel autobloquant électronique Q2 et du VDC (ESP en Alfa dans le texte).