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Le communiqué de presse de l’époque parlait de hautes performances, mais d’un impact environnemental réduit. Une rengaine que l’on entend toujours à l’heure actuelle… En effet, le 6 cylindres en ligne de ce VCC (pour Versatility Concept Car), d’une cylindrée de 2,6 l, se démarquait par quelques belles technologies pour l’époque, comme l’injection directe d’essence et la suralimentation. Les 250 chevaux produits n’auraient, à en croire le communiqué, besoin alors que de 6,5 l tous les 100 kilomètres !

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Mais c’est du côté de la transmission et du circuit électrique que ce concept se démarquait, avec une boîte de vitesses manuelle robotisée et un circuit en 42 volts. Le temps de réponse du turbo et les temps de passage des rapports (une tare sur ces boîtes à l’époque !) étaient supprimés grâce à un petit moteur alimenté par la grosse batterie. L’ancêtre de la micro-hybridation 48 volts qui commence à se répandre…

Ce crossover, de dimensions comparables à une S80 de l’époque, promettait de plus une masse réduite, de l’ordre de 1,3 t. Le secret de sa légèreté ? L’utilisation de matériaux « nobles », comme l’aluminium et la fibre de carbone.

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