Robin Van den Bogaert

14 OCT 2014

Pour certains, “la voiture hybride est celle qui roule sur la route et sur l’eau”

Les conducteurs sont-ils prêts à opter pour une voiture animée par une technologie respectueuse de l’environnement ? Et quel est le degré de leur (mauvais…) niveau de connaissance des voitures « vertes » ?

C’est à ces questions qu’a voulu répondre le groupe automobile limbourgeois Delorge-Peerlings, qui a mené le mois dernier une enquête sur ce sujet auprès de 1.200 conducteurs. Et certaines réponses ont de quoi interpeller… Ainsi, 2% des participants déclarent qu’ils ne veulent pas rouler avec une voiture verte.

Par “voitures vertes”, l’enquête entend un véhicule à 4 roues émettant moins de 100 g/km de CO2, un véhicule hybride ou un véhicule carburant à l’électricité ou au gaz naturel. Environ 1 participant sur 5 roule déjà actuellement avec un véhicule de ce genre, essentiellement pour des raisons de faible consommation et de fiscalité moins lourde. 90% des autres participants déclarent qu’ils veulent rouler « vert ».

Quant à la connaissance des moyens de propulsion alternatifs, la situation est assez préoccupante : environ 58% des participants ne savent pas indiquer l’autonomie exacte de leur voiture électrique (ils disent pouvoir rouler entre plus de 50 et 100 km). Et seuls 55% des participants savent que l’appellation CNG désigne des véhicules qui roulent au gaz naturel comprimé et donc pas au biodiesel ou à l’hydrogène comme le pensent les autres. Mais le plus fou, c’est que 1% des participants pense qu’un hybride est un véhicule qui peut aussi bien rouler sur la route que dans l’eau ! On leur conseil de jeter un œil sur notre Top 5 des véhicules amphibies
PUBLICITÉ
PUBLICITÉ
PUBLICITÉ