A vrai dire, ce sont surtout les routes remplissant majoritairement une « fonction résidentielle » qui sont ciblées. Les routes destinées à la circulation ne sont pas concernées par cette mesure et restent donc à 50 km/h. L’idée derrière ceci est bien évidemment une meilleure cohabitation entre les divers types de mobilité et assurer la sécurité sur les pistes cyclables.

Si le 30 km/h n’est pas généralisé, c’est parce que la ministre régionale de la Mobilité (Lydia Peeters, Open VLD), entend laisser une certaine marge de manœuvre aux communes : « les collectivités locales connaissent leur territoire et sont les mieux placées pour déterminer quelles limites de vitesse sont acceptables et crédibles ».