Précédent1. La MegaBox du Ford Puma
Voilà l’exemple parfait d’une fonction pratique insoupçonnée. On connaît, bien sûr, tous les « doubles-fonds » sous le coffre de nombreux modèles. Mais généralement, il s’agit d’un petit espace étriqué finalement pas très pratique à l’usage. Dans le cas du Ford Puma, cette zone est autrement plus exploitable ! Sous le double plancher de ce SUV compact se trouve en effet ce que Ford appelle la « MegaBox ». Cette profonde cavité creusée permet d’embarquer de nombreux colis grâce à son volume généreux de 80 litres. Sa grande profondeur permet, en outre, d’insérer facilement dans le coffre un objet encombrant en hauteur, comme une plante verte par exemple.
Ce n’est pas tout : Ford a pensé à recouvrir l’intégralité de sa MegaBox d’un plastique résistant à l’eau et d’y insérer en sus un bouchon de vidange dans le fond. Ce qui permet d’y ranger des accessoires salissants (ses bottes ou ses chaussures de marche après une excursion) sans crainte, puisque la zone est facilement lavable.
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On notera également que Ford propose, en accessoire, un kit « Box-In-Box » aux clients de son SUV compact Puma. Une boîte mobile, en 2 parties, sur-mesure qui s’intègre parfaitement dans la MegaBox. L’ensemble comprend une boîte isotherme (pour un pique-nique parfaitement ordonné) et une boîte de transport avec de solides poignées.
2. Les barres de toit modulables de Dacia
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Autre fonction pratique imaginée cette fois chez Dacia : les barres de toit modulables. Inutile de commander en supplément des barres transversales à arrimer sur ses rails longitudinaux pour fixer un coffre de toit, une galerie ou transporter des skis/snowboards, etc. Il suffit de faire pivoter les rails modulables découverts sur le véhicule familial Jogger. Bien dans l’esprit Dacia, il ne s’agit pas d’un complexe système automatique trop coûteux. Mais un système manuel très simple. Il suffit d’utiliser une clé spécifique que l’on trouve dans la boîte à gants et la manipulation dure moins d’une minute. On confirme : c’est simple comme bonjour ! Et on peut ensuite charger jusqu’à 80 kg sur le toit.
3. L’avertisseur caméra d’angles morts de Hyundai/Kia
On quitte un peu l’univers du « transport/rangement » pour cette troisième idée pratique au quotidien pour glisser vers les aides à la conduite. On connaît tous les avertisseurs de présence dans l’angle mort qui fonctionnent via une petite lampe qui s’allume près du rétroviseur latéral. Une aide agrémentée, le cas échéant, avec une alerte sonore voire une vibration dans le volant en cas de danger. Mais l’idée du groupe Hyundai/Kia d’activer une vue de la caméra latérale directement dans le combiné d’instruments quand un clignotant est activé reste encore assez inédite sur le marché. Et pourtant, elle est vraiment pratique à l’usage dans de nombreuses situations : changer de bande sur l’autoroute, quitter un emplacement de parking, tourner à un carrefour, etc. On découvre directement devant ses yeux si la voie est libre ou si, à l’inverse, un potentiel danger se profile.
4. Le rétroviseur central caméra
On reste un peu dans le même esprit en soulignant le côté pratique des rétroviseurs caméras. Mais attention, pour le moment, on souhaite surtout encenser les rétroviseurs intérieurs caméras, pas les extérieurs. Car s’ils soulignent le côté « high tech » et permettent (en théorie du moins) de grappiller quelques kilomètres d’autonomie sur certains véhicules électriques, les rétroviseurs latéraux caméras ne s’avèrent pas toujours très agréables à utiliser au quotidien.
En revanche, les rétroviseurs intérieurs offrant la double position « miroir classique » ou « miroir caméra » se montrent vraiment pratiques à l’occasion. En plus de laisser le choix d’utiliser le rétroviseur classique si on préfère pour le quotidien, on peut en effet aussi basculer vers la vue prise directement depuis la caméra située à l’arrière du véhicule quand on transporte de grands passagers à l’arrière ou qu’on a chargé son coffre jusqu’au toit. De quoi conserver une excellente visibilité vers l’arrière lors des transhumances estivales, par exemple. Ici, difficile de mettre une marque spécifique en avant puisque cette fonction commence à se répandre. Bien sûr principalement chez les constructeurs premium (comme Land Rover ou Lexus, par exemple), mais aussi chez des généralistes (comme Renault).
5. L’assistant de marche arrière de BMW
On termine ce petit tour des astuces pratiques « insoupçonnées » en mettant en exergue la fonction d’aide à la marche arrière. Une fonction qui reste pour le moment l’apanage de marques premium, à l’instar de BMW par exemple. En quoi est-ce que cela consiste ? Le véhicule conserve en mémoire la trajectoire précise empruntée lors des derniers mètres (de 50 à 200 mètres, environ, en fonction des versions) afin d’être capable de reproduire seul le trajet en marche arrière. A quoi est-ce que cela sert ? Pour sortir facilement d’un garage étroit « biscornu » dans lequel on serait rentré en marche avant. Ou pour s’extirper d’une voie sans issue dans une ruelle étroite. Pour ce faire sans suer de grosses gouttes, il suffit d’enclencher la fonction via l’écran tactile, passer la marche arrière et laisser le volant « tourner tout seul » quand on recule à basse vitesse. Pratique pour les conducteurs effrayés par les longues marche arrière compliquées.