Ce sont quelque 1300 emplois directs qui sont concernés : General Motors vient d’annoncer la fermeture définitive de son site d’Anvers, à la fin de cette année. Pourtant, deux candidats à la reprise étaient en lice mais GM a indiqué qu’aucun de ces derniers ne remplissaient les conditions imposées.
Les deux candidats
Une société chinoise ainsi qu’un groupe d’investisseurs avaient pourtant manifesté leurs intérêts, mais selon GM, aucun ne remplissait les conditions nécessaires. Voilà qui met un terme aux contrats de 1300 employés directs et de très nombreux sous-traitants.
Un ultime espoir ?
Selon Le Soir, le ministre-président flamand Kris Peeters et les partenaires sociaux contestent l’attitude de GM qui n’aurait manifestement pas considéré sérieusement la proposition de reprise de l’investisseur chinois. Les syndicats entendent reprendre directement les négociations avec le candidat-repreneur.
Le site
GM va donc désormais s’atteler à trouver un repreneur pour le site de construction et les terrains adjacents. Kris Peeters souhaite toutefois voir la direction de GM céder ces terrains contre un montant symbolique. Le ministre-président flamand y verrait bien l’éclosion de nouvelles activités industrielles.