Le conducteur rebelle

Il conduit depuis peu, il est jeune et adore appuyer sur le champignon. Parfois trop même. Pour lui, la route est une piste de Spa Francorchamps. Ce type de conducteur se dit qu’il peut rattraper les autres voitures le plus rapidement possible ou que rien ne peut l’arrêter, quitte à manquer de vigilance sur les routes. Comment le repérer ? Cet automobiliste opte pour une petite voiture puissante, telle qu’une A3 Sportback.

 

Le conducteur arrogant/râleur

Ce conducteur a tendance à râler beaucoup derrière son volant. Créatif, il vous sort des jurons que vous n’avez jamais entendu pour définir tout type d’individu obstruant la fluidité de sa conduite. Dans le fond de sa pensée, le conducteur râleur est persuadé que les autres conducteurs sont incompétents et ne savent pas conduire. Par jour de beau temps, vous l’entendrez peut-être crier quelques noms d’oiseau par-delà la fenêtre ouverte de son Opel Corsa.

 

Le conducteur exemplaire

Les courses au feu ou les drifts, ça ne l’intéresse pas. Le chauffeur exemplaire préfère prendre son temps pour effectuer des manœuvres sûres. Au volant de sa voiture familiale, telle qu’une Volvo V90 ou V70, il montre l’exemple et aime bien les signes de reconnaissance. Le conducteur exemplaire aura tendance à vous céder le passage et s’attendra à un signe de votre part, comme vos quatre clignotants, pour signaler votre gratitude.

 

Le conducteur relativiste

Ce conducteur n’est pas agressif. Il comprend que personne n’est parfait, même au volant, et accepte le mauvais comportement des autres conducteurs. Plutôt que de lancer des jurons et des gestes à tout bout de champ, il contrôle ses pulsions. Le relativiste pensera que la voiture de derrière a surement une bonne raison d’être aussi pressée et se mettra de son plein gré sur le côté. Il préfère faire ses trajets au volant de sa VW Passat break plutôt que d’une voiture familiale.

 

Le conducteur pressé

Il n’est pas fan de courses mais a l’impression que la circulation est trop lente. Il doit dépasser les autres conducteurs et ne supporte attendre au feu rouge. Si quelqu’un essaie de le dépasser, il accélèrera probablement pour ne pas se voir freiner 30 m plus loin à cause du véhicule qui l’aura précédé. Le pressé a horreur des embouteillages et trouvera toujours un moyen pour les éviter : même si le détour est long, tant que ça roule, ce conducteur est apaisé. De plus, il aura tendance à jouer sur l’influence de sa grosse cylindrée, telle une Audi A6 ou une Mercedes CLA, qui lui permet des accélérations.

 

Le conducteur rancunier

Il trouvera toujours le moyen de faire payer aux autres conducteurs leur mauvaise conduite. Il ralentit intentionnellement pour ennuyer d’autres chauffeurs : « S’il veut me dépasser et que ça me déplait, je le suivrai pour lui faire un peu peur. » Ces réflexions vous semblent familières ? Le conducteur rancunier se doit en effet de faire remarquer son mécontentement aux autres véhicules en adaptant sa conduite de manière parfois dangereuse. Le rancunier est aussi de mauvaise foi : « Pourquoi cette voiture est sur la route ? Je klaxonnerai quand je serai à sa hauteur pour lui signaler mon mécontentement et j’espère que ça l’embêtera. » Avec sa Mitsubishi Outlander, cet automobiliste vous en fait voir de toutes les couleurs. 

Bien que ces comportements soient facilement identifiables, ils ne définissent pas forcément la conduite de chaque automobiliste. Chacun a ses petites habitudes et ces habitudes se remarquent entre autres dans le modèle de voiture choisi. Il ne vous reste plus qu’à comparer les différents modèles pour savoir quel type de conducteur vous êtes.

Cet article a été rédigé par TopCompare.be en collaboration avec Vroom.be