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Au début des années 60, la gamme Citroën souffre d’un immense fossé entre la très populaire 2CV et l’avant-gardiste ID/DS ! La voiture qui viendra combler ce trou, c’est l’Ami 6 : une mécanique de 2CV, mais un confort franchement accru et un style… disons, atypique. En 1969, l’Ami 8 la remplace et restera en production jusqu’en 1979.
1. Ami 8 ou Ami Super ?
Lancée en 1969 avec le célèbre flat-twin de la 2CV de 32 ch, l’Ami 8 profitera d’une version Ami Super en 1973. Sur cette version, le bicylindre est remplacé par un 4 cylindres à plat d’un litre et 53 ch. Nettement plus performante, l’Ami Super est aussi nettement plus rare (et donc plus chère) dans les annonces. Dans les deux cas, le moteur est solide ! En revanche, les synchros de la boîte sont plutôt fragiles.
2. Rouille !
Comme toutes les voitures des années 70, l’Ami 8 adore la rouille, d’autant que les tôles sont très minces. Même la plateforme est largement sujette à la corrosion. Inspectez donc tout !
3. Ça se graisse !
Si l’entretien de ces Citroën est une formalité pour un bricoleur averti, il ne doit cependant pas être négligé. Notez que contrairement aux voitures actuelles, l’Ami 8 doit encore voir ses trains roulants régulièrement graissés.
4. Berline ou break ?
Le break est plus pratique, plus courant dans les annonces et aussi un peu moins cher. En revanche, la berline affiche un style plus exotique qui séduira les amateurs d’originalité. La finition Club (haut de gamme) est un must !
5. Finition ultra légère !
Voiture économique accusant un demi-siècle, l’Ami 8 ne brille pas par la qualité de sa finition. Vérifiez donc que tout est en état et manipulez les accessoires avec la plus grande délicatesse !Vous cherchez un oldtimer ?
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