L'université de Tsinghua s'est penchée sur le sujet et conclut que ce sont principalement les particules fines (encore elles…) qui, reconnues aujourd'hui comme cancérigènes, sont responsables de diverses maladies comme le cancer, des accidents vasculaires cérébraux, ou de multiples soucis pulmonaires, souvent chroniques.

La même étude affirme également que 70 % de la population chinoise a été exposée à une quantité de particules supérieure à la normale. La Chine souhaite certes miser sur des sources d'énergie alternatives mais elle est encore très loin d'être sortie de ce véritable bourbier environnemental.