Ne tournons pas autour du pot : cette méthode permet certes de diminuer le montant de la prime, mais elle est à proscrire ! En effet, en cas d’accident avec un jeune au volant d’une voiture qui n’est pas assurée à son nom, l’assurance va certainement faire une enquête afin de déterminer s’il prenait régulièrement le volant du véhicule en question. Et si le résultat de l’enquête confirme les soupçons, vous serez accusé d’avoir fait une fausse déclaration. En effet, la prime que l’assureur a calculée ne correspond pas aux risques réels !
Risquez-vous de devoir payer les dégâts ?
Si l’assureur détermine que vous avez fait une fausse déclaration en omettant le nom de votre enfant ou en le mettant « simplement » comme conducteur occasionnel alors qu’il en est le principal, il y a de fortes chances qu’il se retourne contre vous, après avoir toutefois dédommagé la victime. Soyez donc honnête et complet au moment de conclure un contrat d’assurance : toute erreur ou omission peut se retourner contre vous, même si elle est involontaire.