Stylistiquement, les proportions et les lignes générales sont préservées, mais les connaisseurs du modèle auront remarqué l’allure globalement plus agressive avec des traits plus tendus, les phares laser, la calandre revue et le long bandeau lumineux arrière. Notez également la présence d’un aileron arrière qui se soulève automatiquement à partir de 120 km/h, soit… jamais en Belgique !
Ce qui impressionne, ce sont les dimensions du bolide, atteignant quasiment 5 mètres en longueur (4,97 m), pour 1,91 mètre de large et 1,42 mètre de haut. Audi a manifestement tiré avantage de ces dimensions en hausse et annonce un habitacle plus spacieux. Le coffre, pour sa part, promet de 535 à 1.390 litres selon la position de la banquette arrière.
La fièvre du multimédia
Dans l’habitacle, le festival technologique prend toute son importance. Outre la désormais traditionnelle instrumentation digitale et l’écran multimédia, Audi propose un troisième écran digital (et le deuxième à être tactile) pour contrôler les divers organes de confort. Le contrôle se fait via le « MMI Touch Response » qui promet « une réactivité haptique et acoustique », digne d’un smartphone. Un sacré programme…
Motorisations
A l’instar de la nouvelle A8, l’A7 Sportback s’en remet à une hybridation légère de ses motorisations grâce à un deuxième circuit électrique en 48 Volts. Le moteur du lancement est le V6 3.0 TFSI, baptisé 55 TFSI et qui fournit 340 ch et 500 Nm de couple. D’autres moteurs suivront pour compléter la gamme par le bas et par le haut. Du côté des suspensions, Audi laisse le choix entre un combiné à ressorts classiques, une suspension pilotée ou pneumatique.