Cette offre serait juste supérieure à la valeur boursière de FCA, ce qui explique pourquoi elle n’a pas été validée. Si une reprise chinoise venait à être confirmée, les marques Jeep, Chrysler, Dodge et Fiat seraient concernées. Les marques Alfa Romeo et Maserati ne seraient pas incluses par la transaction.
Imposée par le gouvernement
Les entreprises chinoises sont toujours plus pressées par leur gouvernement à engager des partenariats avec des sociétés étrangères, voire à reprendre ces dernières. Plus tôt cette année, la société chinoise Geely, qui comprend également Volvo, a repris le constructeur britannique Lotus. De cette manière, les Chinois espèrent rattraper leur retard technologique.
Non pas Fiat, mais Jeep
Mais l’élément clé de cette transaction n’est pas Fiat, mais bien la très américaine marque Jeep. De cette manière, les Chinois ont accès au très convoité marché nord-américain. Avec Jeep, Chrysler et Dodge, les Asiatiques ont ainsi un pied sur le territoire de Trump.