Peut-être qu’elle est passée inaperçue pour beaucoup de visiteurs du salon de Bruxelles, pourtant la Calina est une sérieuse révolution pour Lada. Déjà, elle ne ressemble pas aux autres modèles de la gamme. Mais surtout, on sent que le cahier des charges était un peu plus costaud… Tout est neuf Attendue chez nous pour le second semestre en version quatre portes, la Calina est un véhicule qui sera assemblé dans un tout nouveau complexe. L’usine de montage a d’ailleurs fait appel à deux sociétés allemandes pour le dessin de la chaîne qui l’ont équipée de 400 robots de dernière génération. Ce qui fait que les normes de tolérance ont été resserrées. Il suffit de jeter un œil sur les joints de carrosserie pour le remarquer. Dingue Preuve du virage pris par Lada, on y parle de finition, de sécurité et de protection renforcée ! La Calina emploie des tôles galvanisées à chaud et à froid et le dessous du véhicule est traité par une protection synthétique. On vous le disait, ça ne rigole plus chez nos amis russes. Deux 1600 Sous le capot, le client aura le choix entre un 1600 à 8 soupapes et un autre à 16 soupapes. Les puissances développées sont respectivement de 82 et 92 chevaux. Ces moteurs sont équipés d’injecteurs de refroidissement aux pistons. 5 portes et break ensuite Après l’arrivée du modèle avec malle, Lada proposera fin 2005 la version 5 portes et le break avec des moteurs de 1600 et 1400 cm³. Pour les puristes, la 4 portes s’appelle aussi 118, le break 117 et le modèle avec hayon 119. © Olivier Duquesne

Source : Lada