Jean-Francois Christiaens

7 DÉC 2020

Les 5 secrets de la Mazda MX‑5

4 générations, plus d’un million d’exemplaires et une carrière de plus de 30 ans : la Mazda MX-5 est le plus populaire des cabriolets sportifs ! Cette descendante spirituelle des roadsters britanniques des années 60 doit effectivement son succès à de nombreux éléments : une masse réduite, une fiabilité hors norme, des roues arrière motrices, un toit facile à décapoter et… un tarif compressé !

Après les 5 secrets de la Citroën 2 CV, de la Fiat Nuova 500, de la Mini classique, de la VW Golf , de la Porsche 911 ,de la Ferrari 250 GTO , de la Mercedes 300 SL, de la Lamborghini Countach, du Range Rover, de la Renault 4 , de la Ferrari Testarossa , de la McLaren F1, de la Citroën DS, de la Jaguar Type E, de la Volkswagen Coccinelle, de la Willys MB et de la Citroën Traction, de la Peugeot 205, de la Renault 5, de la Lada Niva, de la Mercedes 190, de la Fiat Panda, de la Renault 4CV, de la Volvo 240, de la BMW M1, de la Ford T et l’Alfa Romeo Giulietta et la Peugeot 203 continuons notre série en nous penchant cette fois sur 5 « secrets » d’une autre icône automobile : la Mazda MX-5 !

1. Un journaliste qui suggère l’idée en… 1976 !

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Tout commence avec Bob Hall, un journaliste américain travaillant pour le magazine Motor Trend. Parlant couramment japonais, il s’approche de Kenichi Yamamoto, directeur du département R&D chez Mazda, et lui demande quels sont les plans de la marque pour l’avenir. Lors de la discussion, il lui fait part d’un sujet d’étonnement : comment cela se fait-il que les roadsters britanniques, si populaires la décennie précédente, ont quasiment tous disparus ? L’idée fait son chemin et lorsque Bob Hall est engagé par Mazda, il remet le projet sur la table… C’est en 1983 que le concept fut approuvé mais il faudra attendre 1989 pour voir la première voiture !

2. La Mazda… « Laguna » ?!

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Le nom est tout simplement dérivé d’un code interne : Mazda eXperience project Number 5, soit MX-5 en abrégé. Pour une voiture aussi ludique, cette appellation est fort rationnelle ! Quant à son surnom « Miata » outre-Atlantique, il s’agit d’une référence à un vieux mot allemand qui signifie « récompense ». D’autres noms étaient sur la table, comme « 1600S » et… « Laguna », rapportent certaines rumeurs !

3. Non, elle n’a pas été étudiée au Japon…

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Mais en Californie ! L’équipe d’ingénieurs californiens proposait une architecture à moteur avant et propulsion, en référence à ces fameux roadsters britanniques. Les Japonais, pour leur part, envisageaient plutôt une architecture moteur avant-traction ou moteur arrière-propulsion. Le style, pour sa part, s’inspire énormément de la Lotus Elan des années 60. Même l’allure du moteur s’en rapproche, avec les caches arbres-à-cames en alu !

4. Une petite dizaine d’échappements pour un son finalement trop banal

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Lors du développement de la voiture, une petite dizaine d’échappement sont étudiés pour donner à la voiture une sonorité ronflante, en rapport avec son statut de sportive. Le modèle retenu ne brillera cependant pas par sa mélodie, régulièrement jugée trop « fade ». A ce sujet, le marché des accessoiristes propose quantité de solutions pour un caractère acoustique plus marqué…

5. Boîte automatique !

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La MX-5, c’est la conduite à l’état pur : des sensations non filtrées, pour un rendu aussi mécanique que possible ! Comment dès lors l’imaginer avec une boîte automatique, sachant que l’unité manuelle est l’une des meilleures du marché ? Pourtant, les 4 générations de MX-5 ont été proposées avec une boîte automatique (à 4 rapports sur les premières générations !), cette dernière n’étant toutefois pas disponible sur tous les marchés, ni sur toutes les versions.

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