Le communiqué concernant le retournement de la Logan, publié sur le site de l’ADAC et dévoilé mardi sur Vroom.be, a bizarrement disparu ! À la place, l’organisme indique que la voiture s’est retrouvée sur le toit lors de la prise de clichés, au terme du test. L’ADAC persiste quand même pour imposer l’ESP à ce modèle, comme l’indique la conclusion du bref communiqué publié aujourd’hui : « L’ADAC a demandé à Renault d'équiper immédiatement la voiture de l’ESP. Les résultats des tests détaillés seront publiés après évaluation de toutes les données disponibles. » Changement de piste Dans la presse française, Renault semble savoir que la piste utilisée lors de l’incident l’était exclusivement pour des raisons de luminosité. En fait, avant la prise de clichés, la Logan avait parfaitement réussi ces manœuvres sur une autre piste, en fonction des normes classiques du test de la baïonnette. Le constructeur s’interroge aussi sur « le manque soudain de professionnalisme » de l’ADAC puisque la Logan qui s’est retrouvée sur le toit avait chaussé une roue de secours ! (NDLR : bien vu les internautes.) Le comportement du « pilote » est également incriminé par Renault. Enfin, concernant la rupture du montant de pare-brise, la marque répond vivement : « La Logan est dans notre usine en Allemagne, et nous pouvons vous assurer que l'enfoncement dû au retournement est tout à fait normal ». © Olivier Duquesne

Source : Dacia