François Piette

6 NOV 2012

Maserati Quattroporte : Entre Verdi et Michel‑Ange…

Dans un pays où la musique et la peinture sont devenues des références, il n’y a rien d’étonnant à ce que les voitures soit élevées au rang d’art. Maserati signe des œuvres d’art dont la sonorité semble sortir tout droit de la Scala de Milan. Aujourd’hui, la nouvelle Quattroporte est dévoilée, sans toutefois révéler tous ses détails. Les premières présentations se feront en janvier, au salon de Détroit.

Objectif gros volume !

Chez Maserati, on ne fait pas de mystère : il faut vendre plus, beaucoup plus ! Une raison pour laquelle la gamme de la marque va sérieusement s’élargir ! D’ici 2015, la firme au trident espère écouler quelque 50.000 véhicules par an.

Un dessin quasi parfait !

Pas facile de remplacer une œuvre d’art par une autre. Pourtant, à la vue des premiers clichés, on ne peut que saluer le talent des designers. L’ensemble est équilibré, respire la force et en même temps, l’élégance. Le clou du spectacle ? Un dessin qui rappelle l’ancienne mouture, tout en s’en différenciant largement. Chapeau l’artiste !

Un moteur qui respire !

Sous le capot, Maserati ne donne pas beaucoup d’information. Tout juste sait-on que la future Quattroporte bénéficiera de moteurs de dernière génération, développés conjointement avec une entreprise assez connue : Ferrari ! D’après les clichés, il sera toujours question d’un V8, mais probablement doté de l’injection directe, à l’instar de la 458 Italia. Maserati annonce une puissance en hausse et une consommation à la baisse… Tant qu’on ne nous refourgue par de vieux 4 cylindres mazoutés… Dernier point important : le châssis devrait toujours respirer le dynamisme, car la masse est annoncée en baisse !

PUBLICITÉ
PUBLICITÉ
PUBLICITÉ