La nouvelle Classe A se montre soucieuse de la protection de l’environnement. C’est en effet un concept écologique global qui est à la base du développement de cette voiture compacte. Plus de 40.000 processus ont été analysés et optimisés d’un point de vue écologique.
Moins d’énergie
C’est ainsi que les émissions de la nouvelle Classe A, tant dans sa construction que dans son utilisation, sont inférieures de près de 17 % à celles du modèle précédent. Sa consommation d’énergie a baissé de huit pour cent environ, ce qui correspond à une économie de quelque 1300 litres d’essence par véhicule sur la moyenne de la durée de vie d’une Classe A. Dans le détail cela donne :
- Oxyde et dioxyde d’azote : moins 17 %.
- Dioxyde de soufre : moins 6 %.
- Hydroxydes de carbone volatils : moins 8 % .
- Déchets particuliers : moins 10 %.
Matières recyclables
Cette conception de produit écologique a aussi pour résultat l’emploi accru de matériaux synthétiques et naturels recyclables. Environ 21 % de tous les composants plastiques sont fabriqués à partir de produits recyclés de premier choix, c’est-à-dire trois fois plus que dans les anciennes Classe A. Vingt-six pièces du nouveau modèle de Mercedes sont composées de matières premières renouvelables. Soit :
- Matériaux en fer et acier : 65 % .
- Plastiques :17 %.
- Métaux légers et non ferreux : 7 %.
23 kg de matériaux naturels
Mercedes-Benz considère l’emploi de matériaux naturels comme une contribution importante à la réduction des émissions de dioxyde de carbone. Les matières premières renouvelables, quant à elles, aident à diminuer la consommation de ressources énergétiques traditionnelles telles que le charbon, le gaz naturel ou le pétrole. Dans la nouvelle Classe A, 26 pièces d’un poids total de 23 kilos sont fabriquées à partir de matériaux naturels. Des études récentes effectuées par le département de recherche sur les carburants de DaimlerChrysler montrent que les fibres naturelles s’intègrent merveilleusement aux matériaux composites et que leur résistance exemplaire à la torsion et à la traction en font les futurs successeurs des fibres de verre utilisées pour renforcer les éléments synthétiques extérieurs des carrosseries. Face aux fibres de verre, les fibres naturelles se distinguent par leur légèreté et leur facilité de transformation.
© Olivier Duquesne
Source : Mercedes
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