Lors de la conférence de presse de Nissan au Salon de Tokyo, Carlos Ghosn, PDG de l’Alliance Renault-Nissan, a lourdement insisté sur l’évolution des technologies qui allaient révolutionner l’automobile et son usage. La conduite autonome, toujours elle, est donc bel et bien au programme et devrait s’imposer sur les voitures à l’horizon 2020. Pourtant, pour le constructeur, il n’est pas question non plus de remplacer le conducteur.
Conduire ou être conduit ? Telle est la question !
C’est là, la magie de ce concept. Le conducteur peut à tout moment décider, depuis un simple « clic », de reprendre le volant ou de laisser la voiture en mode autonome. La kyrielle de technologies embarquées sert de béquilles sécuritaires lorsque le volant est entre les mains du conducteur. Un volant qui, par ailleurs, disparaît dans la planche de bord pour laisser la place à un écran multimédia, lorsque le mode autonome est enclenché. Le conducteur, transformé en simple passager, peut alors entamer une vidéo-conférence, travailler, s’informer, voire se relaxer, tout simplement.
Piétons avertis !
Petit aspect cocasse de ce concept : une rampe LED informe piétons et autres usagers faibles sur les intentions de la voitures. Par exemple, elle les invite à traverser un passage piéton via un message poli ! Sympathique…