Sauf que peu après, la marque à l’ovale bleu a déclaré n’avoir jamais envisagé de fermer le site en question, ni même de supprimer le moindre emploi... En effet, Ford a signé en 2015 un accord salarial avec le syndicat de l’automobile, l’UAW, dont l’une des contreparties est justement de maintenir l’activité de ce site de Louisville.

Ford envisageait par contre bel et bien de transférer l’assemblage du seul Lincoln MKC, un petit 4x4 urbain, sur son site de Cuautilan au Mexique. Puis le constructeur est revenu sur sa décision, bien avant le coup de fil du futur président des Etats-Unis au CEO du groupe, Bill Ford. Un sacré flop à mettre à l’actif de l’équipe qui gère la communication de Donald Trump !