Reposant sur la même base que la Classe E, la CLS en reprend logiquement le contenu technologique, ainsi que l’habitacle. Les propriétaires de la première nommée ne seront pas dépaysés de retrouver les deux grands écrans de 12,3 pouces, l’un servant pour l’instrumentation, le second pour le multimédia. Tous deux se commandent par des pavés tactiles ou via la commande vocale.

Confort assuré

Trois types de suspensions sont proposés : classique en acier, avec amortissement adaptatif ou pneumatique. Pour que votre confort soit parfait, Mercedes propose également six programmes de confort agissant sur la climatisation, le massage des sièges, le chauffage de ces derniers et du volant et même les ambiances musicales et lumineuses !

Performances

Sous le capot, Mercedes ne propose dans un premier temps que des moteurs à 6 cylindres en ligne de 3 litres de cylindrée. On relève deux diesels : la 350d (286 ch et 600 Nm) et la 400d (340 ch et 700 Nm). Mais c’est sans conteste le moteur essence qui est le plus intéressant : ce bloc est lié à un réseau électrique en 48 Volts et à un alterno-démarreur intégré. A sa puissance de 367 chevaux et à son couple de 500 Nm, il faut donc rajouter 22 ch et 250 Nm de punch supplémentaire. Cette motorisation est la plus sportive pour le moment et elle permet à la CLS d’abattre le 0 à 100 km/h en 4,8 secondes. Notez toutefois que la CLS 400d ne demande que deux dixièmes de seconde supplémentaires. Enfin, sachez que toutes ces motorisations sont associées à une boîte automatique à 9 rapports et à une transmission intégrale 4Matic.

Sécurité

Les assistances à la conduite sont reprises de la Classe E : cela signifie que la CLS peut rouler quasiment toute seule dans les embouteillages, gérer de manière autonome un dépassement (selon les pays) et adapter sa vitesse à l’abord d’un virage ou d’un rond-point. Enfin, le constructeur étoilé annonce que ses phares Multibeam LED ont une portée de 650 mètres en mode « feux de route ». A vos lunettes solaires…