En passant de coupé à cabriolet, l’i8 perd non seulement son toit, mais également ses deux places arrière ! Heureusement, la prise de poids face au coupé reste limitée, le constructeur n’annonçant qu’une différence de 60 kg. L’opération de décapotage est bien entendu, entièrement automatisée et ne demande que 15 secondes, à l’arrêt ou en roulant sous 50 km/h. La lunette arrière sert également de filet pare-vent. Bien vu !

De nouveaux aménagements !

Le Bavarois a prévu une nouvelle batterie pour son duo de sportives hybrides. D’une capacité de 20Ah, elle passe maintenant à 34 Ah. Le moteur électrique, quant à lui, gagne substantiellement en puissance, avec une valeur annoncée à 143 chevaux, soit 12 unité de plus. Le moteur turbo essence à trois cylindres de 1,5 litre, quant à lui, ne bouge pas, ce qui signifie une puissance combinée de 374 chevaux.

Plus déductible qu’une Hyundai Ioniq Plug-In Hybrid…

Mais la meilleure des nouvelles, c’est évidemment l’autonomie en mode électrique qui se voit étendue à 55 km pour le coupé et à 53 km pour le cabriolet. La gestion hybride est également recalculée pour faire un meilleur usage du moteur électrique : ainsi, les i8 pourront circuler jusqu’à 105 km/h sur le mode entièrement électrique, contre 70 km/h auparavant. Enfin, la cerise sur le gâteau : grâce à sa masse légère et à ses batteries retravaillées, l’i8 est fiscalement déductible à 100 % (98 % pour le roadster) selon les futures normes du gouvernement.