C’est la police locale de la ville qui met ce véhicule en vente et, le hic, c’est que les documents livrés avec la Ferrari stipulent que celle-ci ne pourra plus jamais être remise en circulation et, a fortiori, immatriculée. En fait, le coupé italien a fait l’objet d’une confiscation manu militari suite à un accident, son propriétaire n'ayant pas jugé bon d'assurer le véhicule…
La police a donc décidé de se séparer de l’engin endommagé au prix de la casse. Tout porte pourtant à croire que la mécanique est en parfait état de marche !