1. Un comportement nettement plus sûr, mais moins joueur
La Celica de 4ème génération est la première Celica à roues avant motrices. L’efficacité y gagne, ce que le tempérament y perd. Bon également à savoir : la version Turbo était alors servie par 4 roues motrices, ce qui rendait l’engin absolument impérial dans les conditions glissantes !
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2. Optez pour le 2 litres !
Divers moteurs ont animé cette Celica, depuis un 4 cylindres de 87 chevaux à un 2 litres turbo de 193 chevaux. Entre les deux, notre préférence va au 2 litres atmosphérique de 152 chevaux : nettement plus vif que le 1,6 l à 8 soupapes, plus souple que le 1,6 l à 16 soupapes (125 ch) et moins onéreux et plus léger que le 2 litres Turbo. Ce dernier est la perle rare, à réserver aux amateurs de performances !
3. Fiabilité japonaise
En bonne Toyota, cette Celica ne souffre d’aucune tare importante. Que cela ne vous empêche pas d’être minutieux : vérifiez bien l’absence de corrosion et la présence de factures d’entretien. Sachez également qu’en cas de panne, la facture peut vite grimper !
4. Quelle carrosserie ?
La Celica était proposée en deux versions de carrosserie et ce, dès le lancement : un coupé à hayon (Liftback dans le jargon) ou à malle séparée. Avis aux amateurs de curiosité et de chevaux au vent : une version cabriolet sera également proposée dès 1987. Rare !
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5. Combien ?
Les modèles à boîte automatique et les versions 1.6 l sont les moins recherchées : pour environ 5.000 euros, vous devriez trouver votre bonheur. A l’autre bout de l’échelle, les versions Turbo se vendent parfois près de 20.000 euros lorsqu’elles sont en excellent état !
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