1. Essence : V6 ou V8 ?
A sa présentation, la CLS était disponible avec un V6 3,5 l et un V8 5 l essence. Par la suite, d’autres V6 et V8 complèteront l’offre. Le plus petit est déjà bien suffisant, tandis que le plus gros V8 est une alternative crédible et moins onéreuse (à tous les niveaux) aux sulfureuses AMG…
2. Diesel ou non ?
Le V6 diesel est très agréable à l’usage : silencieux, souple et sobre, il constituait l’essentiel des ventes. Son utilisation dans les villes semble toutefois compromise et son intérêt en collection est limité. Il constitue dès lors le ticket d’entrée : entre 6.000 et 7.000 euros, vous trouvez déjà de très beaux exemplaires !
3. AMG ?
De 2004 à 2006, la CLS 55 AMG s’équipait d’un V8 5,5 l à compresseur, délivrant 476 ch. Ce modèle fut ensuite remplacé par la CLS 63 AMG, équipée d’un nouveau V8 atmosphérique de 6,2 l et 514 ch ! Notre préférence va au plus gros des deux : moins tempétueux dans le bas du compte-tours, il distille une formidable sonorité et présente un caractère rageur à l’ancienne ! Une perle qui s’accommode d’une boîte à 7 vitesses, contre 5 pour la version précédente.
4. Fiable ! Mais attention au portefeuille en cas de pannes
Cette Mercedes est vraiment robuste. Toutefois, elle n’est pas non plus infaillible et quelques problèmes électroniques peuvent se manifester. Sachez également qu’en cas de panne, le prix des pièces peut vous donner des sueurs… L’entretien va de « costaud » à « franchement déraisonnable » dans les cas des versions AMG.
5. Une peinture quasi insensible aux petites rayures
La peinture profitait d’un traitement qui la protégeait contre les petites rayures. Chouette ! Mais cela signifie également qu’en cas de retouche, l’addition sera salée !