1. Peugeot 206 CC (2000 – 2007)
La folie des petits coupés-cabriolets abordables commença grâce à la Peugeot 206 CC. En munissant sa petite citadine d'un toit escamotable, Peugeot a trouvé un filon en or. La petite française chic resta sur le marché pendant 7 ans avant d'être remplacée par la 207, proposée en CC elle aussi. Elle était propulsée par deux 1,6 litre essence et diesel de 110 ch ou par un 2 litres de 138 ch pour la version GTi !
2. Opel Tigra TwinTop (2004 – 2009)
Face à la popularité croissante de la petite française découvrable, Opel lança à son tour sa propre interprétation du concept CC avec la Tigra TwinTop en 2004. Basée sur la Corsa, ce modèle n'offre, par contre, que deux places. Ce qui a tout de même pour avantage de laisser un coffre utilisable une fois le toit décapoté ! Niveau moteurs, la Tigra reprenait les moteurs de la Corsa, à savoir les 1,4 de 90 ch et le 1,8 de 125 ch en essence ainsi que le 1,3 litre de 70 ch en diesel.
3. Nissan Micra C+C (2005 – 2009)
Tout en rondeurs, la Nissan Micra C+C est venue aussi se joindre aux citadines découvrables à toit dure. Sauf que, chez les japonais, ce toit est entièrement vitré ! Histoire de pouvoir profiter du ciel bleu que la voiture soit décapotée ou pas ! Les motorisations varient du 1,4 au 1,6 litre en essence alors que le 1,5 dci Renault est également venu compléter la gamme.
4. Mitsubishi Colt CZC (2006 – 2009)
Dernière en lice dans ce nouveau segment et certainement la moins populaire, la Mitsubishi Colt CZC applique la même formule que ses concurrentes. Présentée comme une 2+2, ses places arrière sont réservées aux enfants de petite taille. Sous le capot, le moteur 1,5 litre se décline en version atmo de 109 ch. Mais aussi en bouillonnante version turbo de 150 ch !
5. Honda CRX Del Sol (1992 – 1998)
Voici donc une voiture bien étrange. Sans réellement se qualifier de CC, la Honda CRX Del Sol se compose d'un toit targa escamotable. En option, la plage arrière se soulève et vient chercher le toit, le tout de façon automatisée. Très futuriste…pour 1992 ! Sous le capot, sa version VTi était propulsée par le 1,6 litres VTEC de 160 ch.
6. Mercedes-Benz SLK (1996 – 2004)
De coupé-cabriolet, passons aux coupés-roadsters avec la première du genre : la Mercedes-Benz SLK. Bien plus chic et premium que les autres, cette deux-places est plus lourde que les autres roadsters. Heureusement, les moteurs sont pensés en conséquence. La version 32 AMG s'équipe notamment d'un V6 compressé de 354 ch. Ce qui devrait être suffisant… Par contre, difficile de trouver cette mécanique pour moins de 7.000€ ! Pour rester dans notre budget, il faudra se montrer plus raisonnable…
7. Daihatsu Copen (2002 – 2013)
Petite, rondouillarde, néo-rétro et, surtout… adorable, la Daihatsu Copen ne passe pas inaperçue ! Sous le capot, le 1.3 VVT de 87ch pourrait paraître insuffisant. Mais la Copen ne pèse que 870 kg ! Un poids plume qui rend le petit coupé-roadster bien amusant. Notons qu'au Japon, elle était propulsée par un moteur turbo de 659 cm3 produisant 68 ch… Par contre, si vous comptiez partir pour un long week-end à son volant, il faudra éviter d’embarquer trop de bagages !