Cette fois, il se la joue vraiment « Bad Boy » ce Captiva ! Contrairement à ce qui se fait d’habitude, le facelift n’est pas des plus subtils ! De l’avant, le SUV américain semble vouloir engloutir tout ce qui se présente face à lui. Mais les modifications ne sont pas qu’esthétiques, car du muscle, désormais, il y en a aussi sous le pied droit !

Esthétique

Avec sa calandre bien dans l’esprit de la marque et coupée en deux parties, le Captiva se veut plus méchant, plus racoleur aussi avec ses LED ! S’il n’est probablement pas des plus fins, ce nouveau look a au moins l’avantage de le rendre plus typé et de le différencier des masses grises surélévées qui nous assiègent chaque jour. Dans l’habitacle, à l’instar des autres Chevrolet, il éclaire son instrumentation de bleu. Lounge ! La finition se veut plus avenante et l’équipement progresse avec l’apparition de connectiques USB, Bluetooth et auxiliaire. Quant aux familles nombreuses, sachez que le Captiva peut digérer 7 personnes, sur option !

Sous le capot

Sous le pied droit, c’est le grand chamboulement ! Les moteurs gagnent en muscle, et pas qu’un peu : le 2.4 l essence grimpe à 171 chevaux et un V6 de 3 l affiche 258 chevaux ! Sympa, mais sans grand intérêt chez nous… En revanche, question mazout, le Captiva assure avec un 2.2 l décliné en deux variantes de puissance : 163 ou 184 chevaux. Boîtes manuelle ou automatique, peu importe, désormais, c’est 6 rapports pour tout le monde ! Toujours au chapitre de la transmission, notons que le constructeur laisse le choix entre deux ou quatre roues motrices, V6 essence excepté (4X4 de série).