À l’aube du 3ème millénaire, Steven Spielberg prépare du très lourd, à savoir un film qui se déroulera à Washington en l’an 2054. Son nom ? Les cinéphiles l’auront deviné : « Minority Report ». Forcément, les protagonistes doivent bien se déplacer et pour ce faire, le géant du cinéma fait appel à un géant de l’automobile : Toyota.

Une mobilité un brin repensée !

À en croire le film, les déplacements en 2054 ne ressembleront plus du tout à ceux que l’on connaît aujourd’hui. Le film prédit que dans les villes, les voitures se déplaceront sur des pistes magnétiques et ce, sur un plan horizontal ou vertical. En revanche, une fois hors des enceintes de la ville, la route reste similaire à celle que l’on connaît aujourd’hui. Et c’est précisément pour cet usage que le héros du film, Tom Cruise, a besoin d’un véhicule taillé sur mesure.

La grise ou la rouge ?



Face à cette demande quelque peu inhabituelle, Toyota sort le grand jeu en demandant notamment les services d’Harald Belker, un routard du cinéma qui n’est pas à sa première réalisation, ainsi qu’à une entreprise californienne, CTEK, pour la réalisation. Deux véhicules seront produits, un coupé rouge et un roadster gris.

Festival technologique !

On passera rapidement sur le style forcément très expressif, s’agissant d’un concept futuriste, pour se concentrer sur la partie technologique. Et cette dernière est aussi plutôt avant-gardiste : Lexus annonce une carrosserie en fibre de carbone, des suspensions adaptatives en titane, des écrans holographiques, des panneaux photovoltaïques rétractables et surtout, un moteur électrique de 500 kW, soit 680 ch !

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