Le nom évoque des noyaux de galaxie très lumineux. Le tableau de bord, pour sa part, est résolument futuriste avec son écran à cristaux liquides et son embryon d’ordinateur de bord, doublé de ce qui ressemble à un début de GPS. Le style, résolument futuriste, est dû au talentueux Gérard Walter qui imagine un habitacle surmonté d’un dôme en verre, des portes en élytre et un aileron arrière intégré. Enfin, l’habitacle est tout aussi futuriste et dû à Paul Bracq, qui accorde une attention toute particulière à la sonorisation Hi-Fi…

Une mécanique à la hauteur ?

Bien entendu, pareil engin ne pouvait se contenter d’un petit moteur issu de la Peugeot 104. Peugeot reprend donc ce qu’il fait de plus flamboyant, à savoir la base technique (moteur et châssis) de la 205 Turbo 16 de Groupe B ! Quant aux suspensions, elles seraient directement dérivées de la Formule 1.

Si la voiture, présentée en 1984, ne connut aucun débouché en grande série, elle a néanmoins fait rêver et entrainé une lignée de concept-cars tous plus attrayants les uns que les autres.


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