Que les fans de Q7 se rassurent: cette deuxième génération du modèle reste imposante. Mais grâce à un choix judicieux des matériaux pour le châssis et la carrosserie, Audi est parvenu à réduire le poids de l’engin à 1.995 kg. Juste sous la barre des deux tonnes, donc, alors que les concurrents dépassent cette barrière fatidique. Le nouveau Q7 perd donc jusqu’à 325 kg ; il est aussi 4 cm plus court et 1,5 cm plus étroit.

Un Diesel hybride

Grâce à ce régime, les modèles TFSI à essence consomment 28% de moins, tandis que les diesel TDI consomment 23% de moins. Et le Q7, qui repose sur une toute nouvelle plate-forme, sera aussi disponible pour la première fois en version hybride. Le Q7 e-tron quattro est même le premier plug-in hybride à moteur diesel d’Audi. Le 3.0 TDI de 258 ch est ici épaulé par un moteur électrique de 128 ch (offrant une autonomie de 56 km) et l’ensemble développe une puissance totale de 373 ch. Cette version est aussi la plus puissante de la gamme, puisque le 3.0 TDI affiche 272 ch et que le 3.0 TFSI affiche lui 333 ch. 

Un cockpit digital

Comme on pouvait s’y attendre, le Q7 fait aussi le plein d’assistances à la conduite et d’équipements multimédias. Il reçoit notamment un pavé tactile à portée de main, les services internet d’Audi Connect (gratuits pendant 3 mois, puis payants) et des compteurs entièrement digitaux pour le conducteur, comme c’est le cas dans la TT. L’intégration smartphone avec Google Android Auto ou Apple CarPlay est également possible.

Le Q7 sera disponible avec 5 ou 7 places et fera sa première apparition mondiale officielle au salon de Détroit, en janvier.