Le rotatif « Wankel » a disparu en même temps que l’originale RX-8, en 2012. Un moteur qui, comme son nom l’indique, se distingue par ses pistons rotatifs et son nombre de pièces très réduit par rapport aux moteurs classiques. Les avantages sont multiples (puissance spécifique, absence de vibrations…), mais hélas, les inconvénients aussi (consommation d’essence et d’huile, couple à bas régimes…). Cela dit, nous pouvons faire confiance aux ingénieurs nippons pour trouver des solutions à ces problèmes !
Plus de 160 chevaux ?
Si la RX-7 refait surface, il se pourrait bien qu’elle repose sur une plateforme de MX-5. Une structure légère, équilibrée et dotée de roues arrière motrices constitue en effet, un excellent point de départ. On pourrait donc imaginer un coupé compact et à l’allure suggestive. Question puissance, on suppose que cette éventuelle RX-7 affichera une cavalerie supérieure à la plus puissante des MX-5 (160 ch), pour une question de hiérarchie dans la gamme. Reste à savoir si Mazda retournera à la suralimentation…